Réveil sous le soleil. Qui l’eut cru… Pourtant, aujourd’hui sera une belle journée ensoleillée, sous un ciel bleu sans nuage.
Malheureusement, pas de photo, pour cause de voyage en bus une bonne partie de la journée. Il faudra donc me croire sur parole.
Direction l’arrêt de bus, pour revenir sur Reykjavik. Dernière étape avant la France…
Nous longeons la côte sud, passons à Skógar. L’année dernière, c’était l’arrivée de mon trek sous une grosse pluie. Cette année, grand ciel bleu, avec une jolie vue sur les deux glaciers en prime. Eyjafjallajökull pratiquement tout blanc, alors qu’il était si noir l’année dernière.
De belles couleurs vertes, les montagnes, la mer, le ciel bleu. Je n’en perds pas une miette jusque Reykjavik.
Arrivée à BSi. Nous montons Njargata, cette rue en pente qui m’a donné tant de mal le premier jour, avec mes 24kg de bagages.
Guesthouse Aurora. Je retrouve mon sac abandonné 1 mois plus tôt. Pour cela, nous aurons dû, avec Christine, retirer des dizaines de sacs pour enfin ouvrir une petite porte et retrouver nos affaires. Sommes-nous parties si longtemps que ça ?
Nous avons droit à une chambre pour 4 personnes !! Le bonheur. Une cuisine rien que pour nous. Et idem pour la salle de bain. Nous somme en fin de saison, pas de doute…
Douche direct. Le bonheur d’utiliser un gel douche qui sent bon, de l’eau chaude, puis de mettre des vêtements propres… Je n’ai jamais été aussi heureuse de retrouver ces choses simples.
Je sors ma tente pour la faire sécher. La mienne est maculée d’herbe et sent la marée à mort ! J’ai aussi droit à un petit ver de terre et une limace, et quelques morceaux de certains de leurs congénères.
Après-midi shopping et cadeaux. Une bonne chose de faite.
Le soir, rendez-vous avec Pierre pour boire un verre. Échange autour de nos séjours respectifs. Puis diner à Islenski Barinn. Dégustation de renne pour certains, de requin et baleine pour d’autres. Tournée de Brennivin. Pas de goût mais retour de bâton par les oreilles. Puis encore quelques verres à Kaffinbarinn. Soirée discussion. Rires aussi. Mystère des toilettes en Islande. L’année dernière, Ludwig, cette année, Rakel.
La musique s’arrête brusquement, les lumières se rallument. kaffinbarinn ferme. Il est temps de rentrer.